Québec, Nota bene (Littérature(s)), 2009, 375 p.
L’hypothèse qui guide les pages de cet essai universitaire d’un professeur de sémiotique littéraire au Département des arts et lettres de l’Université du Québec à Chicoutimi : s’il est une question que le roman policier pose avec insistance, c’est celle des moyens dont disposent ceux qui viennent après-coup pour parvenir à donner sens à un acte dont il ne reste que des traces éparses.