Paris, L'Harmattan (Sang maudit), 2007, 206 p.
Une étude de l’œuvre d’un romancier cubain d’importance, Leonardo Padura, qui « rénove le genre policier pour lui donner une résonance éthique, historique et ontologique et faire la lumière sur une cubanité problématique qui n’a de cesse de se réinventer », nous renseigne la quatrième.