Paris, Fleuve Noir, 2005, 235 p.
Le commissaire Montalbano a décidé de démissionner, mais lorsqu’il heurte un cadavre en nageant dans cette mer qui, d’habitude, lui permet de se laver des laideurs du monde, il ne peut que rempiler. Et d’autres corps arrivent, ceux d’immigrés clandestins exploités par de féroces mafias…