Livres reçus: août 2004

Gallimard

 Couverture A. D. G.
Je suis un roman noir

Paris, Gallimard (Série Noire 1692), 2004, 143 p.

Réédition d’un agréable petit roman d’A. D. G. paru en 1974 et qui raconte la prise de conscience d’un auteur de polars dont la vie, subitement, en devient un…

 Couverture Abasse Ndione
La Vie en spirale

Paris, Gallimard (Série Noire 2485), 2004, 362 p.

Réédition du premier roman de Ndione, paru à Dakar aux Nouvelles Éditions Africaines en 1984 et 1988. Une histoire de fumeurs et de revendeurs de yampa, pour qui une pénurie de chanvre indien est pire qu’une pénurie d’eau…

 Couverture Alex Abella
Le Dernier Acte

Paris, Gallimard (Série Noire 2706), 2004, 325 p.

Charlie Morell est dans de beaux draps alors que des jeunes femmes décapitées sont découvertes sur la côte californienne. Rita Carr, avocate d’origine mexicaine, défend l’avocat cubain, mais c’est la Santeria, version cubaine du Vaudou, qui fait de nouveau irruption dans la vie de Morell…

 Couverture Chistopher Moore
L'Agneau

Paris, Gallimard (Série Noire 2707), 2004, 554 p.

Biff, c’est le meilleur ami de Jésus-Christ, alors pourquoi ne pas le ressusciter pour qu’il nous explique ce qu’a fait le Messie entre sa douzième et sa trentième année ? Pas vraiment un polar, mais certainement aussi tordu (tordant ?) que le précédent roman de Moore, Le Lézard lubrique de Melancholy Cove

 Couverture Giampiero Rigosi
Bus de nuit

Paris, Gallimard (Série Noire 2708), 2004, 312 p.

Pour vivre et survivre, Leila drogue les hommes qu’elle drague et les dépouille. Mais là, le dernier avait quelque chose qu’un ponte politique tient à récupérer et voilà Leila avec des hommes de main qui la pourchassent, sans oublier quelques agents secrets…

 Couverture Joe R. Lansdale
Tape-cul

Paris, Gallimard (Série Noire 2709), 2004, 261 p.

La blonde de son copain Leonard, Brett, demande à Hap Collins de l’aider à sortir sa fille Tillie des pattes d’un maître-maquereau, et Hap se dit que c’est le genre de truc qui aide à se sentir moins vieux. Mais quand il s’aperçoit que Tillie a été revendu aux Bandidos Supremes, ça devient nettement moins rigolo…

 Couverture Kem Nunn
Le Sabot du diable

Paris, Gallimard (La Noire), 2004, 410 p.

Fletcher est chargé par une revue de surf d’aller photographier Drew Harmon, un ancien champion retiré dans un coin secret de Californie du Nord où les vagues sont, dit-on, énormes. Mais Harmon et sa femme sont bien étranges. Par l’auteur de Surf City et la Reine de Pomona .

 Couverture Laurence Biberfeld
Le Chien de Solférino

Paris, Gallimard (Série Noire 2711), 2004, 222 p.

Il y a Régis, et puis il y a les autres. Et surtout elle. et puis le mistral, qui court, et c’est la vie dans la vallée du Rhone, avec son cortège de trucs pas catholiques… Deuxième roman de Biberfeld, après La B. A. de Cardamone .

Hors Commerce

 Couverture Alfred Eibel et Françoise Monfort
500 façons d'éliminer son prochain

Paris, Hors Commerce (Hors Noir), 2004, 425 p.

De « abat-jour électrifié » à « zinzin » en passant par « masse » et « massicot », tout ce qui peut être utile ou nécessaire pour occire selon les auteurs de polar. Preuves à l’appui, il va sans dire, avec titre du bouquin et extrait approprié…

Les Contrebandiers

 Couverture Jean-Bernard Pouy et Patrick Raynal
La Farce du destin

Paris, Les Contrebandiers, 2004, 175 p.

C’est l’histoire de deux petits vieux encore verts, Dieu et le Diable, qui mettent en contact deux de leurs personnages, Antoine, le moine tourier, et Mado, la stip-teaseuse de province, afin de se réserver encore quelques bonnes surprises…

p.O.L.

 Couverture Raphaël Majan
Chez l'oto-rhino

Paris, p.O.L. (Une contre-enquête du commissaire Liberty), 2004, 197 p.

Le commissaire qui règle ses enquêtes en trucidant va chez l’oto-rhino alors qu’il n’est pas sourd mais simplement blasé. Résultat : son fidèle adjoint Lavraut reconquiert sa femme Martine, qui doit changer dare-dare d’amant…

 Couverture Raphaël Majan
L'Apprentissage

Paris, p.O.L. (Une contre-enquête du commissaire Liberty), 2004, 201 p.

Drôle de zèbre que ce commissaire Wallance, alias Liberty, qui, tout en se targuant d’être un genre de justicier, s’avère tout aussi bien un serial killer