
Dans la série « Mes classiques »
Une chouette collection
Notes très personnelles sur la collection J’ai Lu policier
par Catherine Sylvestre

Comment je suis tombée dans le polar
Je suis née à la fin des années 1950 dans une petite municipalité qui hésitait encore entre un statut de village (alentours occupés par des fermes maraîchères) et de banlieue (alignement de tranquilles bungalows). Durant mon enfance, la seule bibliothèque publique à laquelle nous avions accès était celle de l’école primaire… une pièce à peine plus vaste que mon bureau, que ma tante et ma mère animaient bénévolement un jour par semaine durant les vacances d’été. On imagine qu’une lectrice vorace aura épuisé le choix de bouquins intéressants bien avant la fin de sa sixième année…
Pour être franche, il y avait plus de livres à ma disposition dans la bibliothèque familiale. C’est dire qu’à douze ans, lorsque j’ai débarqué à l’école secondaire, j’étais en quelque sorte une page blanche qui ne demandait qu’à s’écrire.
Ah, la bibliothèque de l’école Saint-Martin ! Heu… Je ne garde aucun souvenir des lieux. Et je n’ai développé aucune relation particulière avec la bibliothécaire. Ce que je sais, par contre, c’est que je suis tombée un jour sur une étagère emplie de petits livres à la couverture sombre dans lesquels j’allais plonger avec passion.
Jusqu’alors, les histoires que j’écrivais étaient principalement inspirées par des émissions de télé. Aucun livre de mon enfance n’avait encore marqué mon imaginaire. Cela changea du tout au tout lorsque j’ouvris un roman de la collection J’ai Lu policier.
Ces bouquins n’avaient pourtant rien de particulièrement attrayant… Un très petit format, soit 4 ½ par 6 ½ pouces (11,5 x 16,5 cm). Un papier sans douceur, mais assez épais pour subir l’épreuve du temps. Une couverture en noir et blanc divisée en quatre parties de taille inégale : le nom de l’auteur tout en haut (au début, seule l’initiale du prénom accompagnait le nom de famille) ; le titre centré en caractères colorés ; la mention « J’ai Lu policier » en milieu de page ; et, enfin, occupant plus du tiers de l’espace, le dessin stylisé d’une chouette – en fait, il s’agissait d’un hibou, puisque les chouettes n’ont pas sur la tête ces aigrettes qui évoquent des oreilles.
Quoi qu’il en soit, dans les décennies subséquentes, j’ai compulsivement collectionné ces livres. Si je suis passée plus tard à la collection Le Masque, c’est parce qu’on y rééditait des ouvrages d’auteurs que j’avais découverts dans J’ai Lu policier.
Je ne possède pas la collection complète. Aucun de mes exemplaires n’a été acheté neuf. J’ai récupéré certains titres lors d’une réédition dans d’autres maisons. En plus, c’est ma sœur qui a conservé tous les titres de la série « Le Baron », ses préférés. Et je ne sais même pas lequel des ouvrages de cette collection j’ai lu en premier, lequel m’a fait basculer dans cet état de fascination.
Mais j’aime passionnément cette collection, c’est pourquoi je souhaitais vous la présenter.

Bref historique d’un chouette hibou
D’abord, un avertissement : je ne suis pas une chercheuse émérite ; je ne suis pas diplômée en études littéraires ; je ne suis qu’une lectrice qui aime s’oublier dans de bonnes histoires.
Vous me jugerez bizarre mais jamais auparavant je n’avais cherché à en savoir plus sur l’éditeur de mes œuvres favorites. Mes sources sont le plus souvent, tout bêtement, Goodreads ou Wikipédia – lequel, pour sa part, donne pour référence principale l’ouvrage de Jacques Baudou et Jean-Jacques Schleret, Les Métamorphoses de la Chouette, paru aux Éditions Futuropolis en 19861. Si j’étais une vraie chercheure, ce bouquin-là se trouverait sur mes étagères, ce qui n’est pas le cas.
Je souligne en passant que ma bible en matière de séries policières est le monumental ouvrage de Norbert Spehner2, Le Détectionnaire. Mon exemplaire est truffé de post-it, soit pour marquer personnages favoris, soit pour signaler une série à lire éventuellement. Pour l’instant, je ne suis rendue à la lettre « O ».
Donc, j’ignorais jusqu’à ce jour que le fondateur des Éditions Ditis, Frédéric de son prénom, était franco-suisse. C’est à Genève (avant de déménager en France) qu’il a créé « Détective-Club », une première collection qui n’a d’abord pas bien décollé, jusqu’à ce que son fondateur ait l’idée de vendre les bouquins à petit prix dans des magasins de type Prisunic. Le succès fulgurant qui s’est ensuivi n’étonne guère : à la même époque, au Québec, on s’arrachait les fascicules comme Les aventures étranges de l’agent Ixe-13 de Pierre Saurel. Bref, pour rejoindre un vaste public, rien ne vaut un prix réduit!
Par la suite, Frédéric Ditis créa La Chouette, dont les bouquins furent aussi vendus dans les magasins à petit prix. Et c’est en 1958 qu’avec Jacques Gervais il donna naissance à une nouvelle collection en format de poche, J’ai Lu, alimentée par « un groupe d’éditeurs français (Flammarion, Laffont, le Mercure de France, Plon et Seuil) refusant de donner leurs titres à la collection de référence, « Le livre de Poche » », dixit l’IMEC3.
Ma très chère collection J’ai Lu policier a donc, en fait, réédité les ouvrages parus dans Détective-Club et La Chouette, ce qui explique le hibou stylisé sur la maquette de couverture, du moins dans un premier temps.
À noter que je ne possède que peu de romans de La Chouette, et encore moi de Détective-Club… parce que, tout simplement, ma recherche compulsive était verrouillée sur le visuel de J’ai Lu policier. D’ailleurs, si j’ai acheté ces bouquins, c’est parce que leur auteur faisait partie de ma collection fétiche, comme ce fut le cas de Et merci pour le chocolat, de Charlotte Armstrong.
Les Éditions Ditis ont cessé leurs activités littéraires en 1962, mais J’ai Lu allait prendre la relève.

Les premières plumes du hibou
La toute première parution de la collection J’ai Lu policier (P1) sera Le Baron et le poignard de l’écrivain anglais Anthony Morton (de son vrai nom John Creasey4). Comme c’est souvent le cas des traductions, les aventures du Baron ne seront pas publiées dans l’ordre chronologique (parlez-en à ma sœur qui essaie de les classer dans l’ordre!). D’ailleurs, Le Baron et le poignard, paru dans J’ai Lu policier en 1963, n’avait été que le 21e titre de la collection La Chouette en 19565.
Le Baron éponyme est un cambrioleur repenti, une sorte d’Arsène Lupin british devenu détective. On le présente comme un antiquaire mais, dans mon souvenir, il possédait une boutique très chic de joallerie.
Le J’ai Lu policier le plus ancien que je possède est le roman français Les Veuves (P2) de Jean-Pierre Ferrière (voir dans la section des auteurs français, ci-dessous).
Mais le premier roman de la collection qui sera vraiment marquant pour moi est le sixième de la liste, Ange de William Irish (P6), que j’ai lu et relu une bonne dizaine de fois. Il s’agit de la traduction de The Black Angel paru en anglais 1943, repris dans J’ai Lu policier en 1963. Une jeune femme d’une grande beauté (l’ange du titre) s’introduit dans un milieu criminel dans l’espoir de prouver l’innocence de l’homme qu’elle aime, injustement accusé de meurtre.
Irish (de son vrai nom Cornell Woolrich) sera l’un des grands auteurs américains que la collection fondée par Frédéric Ditis m’aura permis de connaître. Parmi mes romans favoris à vie se trouve d’ailleurs The Black Curtain – sur le thème de l’amnésie –, que j’ai réussi à dénicher dans une autre collection (NéO) sous le titre Retour à Tillary Street.
Autre grand auteur dont l’œuvre a été abondamment adaptée au cinéma : Ira Levin que j’ai rencontré dans La Couronne de cuivre (P12), qu’on pourrait voir comme une réécriture des Trois petits cochons : un assassin s’en prend successivement à un trio de sœurs qui tombent amoureuses de lui, mais la troisième sera plus coriace.
En creusant un peu les biographies des auteurs de la collection, je me suis rendu compte que nombre d’entre eux ont également publié de la science-fiction ou du fantastique. C’est le cas évidemment d’Ira Levin, mieux connu pour Rosemary’s Baby et The Stepford Wives.
Puisque j’ai évoqué les personnages récurrents à découvrir dans les pages du Détectionnaire, je mentionne le docteur Westlake, protagoniste Du sang sur les étoiles (P14), 1964. Le protagoniste est un gentil médecin (veuf) de petite ville, mais l’un des personnages importants de la série est sa fille pré-ado plutôt futée.
Sous le pseudonyme de Jonathan Stagge se cachent une multitude d’auteurs6 peut-être mieux connus sous le collectif Patrick Quentin. Pour ma part, ce sont les romans de Jonathan Stagge que je préfère.

Mes auteurs chouchou
Hillary Waugh est l’un des auteurs dont je me suis efforcée de collectionner l’œuvre. Le plus ancien titre que je possède est On recherche (P16), qui racontre une enquête sur une disparition, comme l’indique le titre. Toutefois, sous la plume de cet auteur, mes favoris sont les romans mettant en scène Fred Fellows, chef de police d’une petite ville du Connecticut, et son adjoint7. Leur relation complexe et leur humanisme me rappellent un duo britannique, celui de l’inspecteur-chef Wexford et de l’inspecteur Burden dans les romans de Ruth Rendell.
Je suis tentée de qualifier les œuvres de Waugh de romans de procédure policière, car on y suit toujours l’enquête minutieuse menée à une époque où les l’ADN ne comptait pas parmi les indices. Un de mes préférés raconte une affaire d’empoisonnement dont est victime un couple sans histoire. Or, comme le dit Fellows, On n’empoisonne pas les saints (P73). L’enquête fouille la vie de la victime (le mari), suivant la trace de sa paisible existence afin de découvrir qui a bien pu vouloir sa mort. C’est toujours agréable à lire, même si la société qui y est décrite (et les rôles liés aux genres, évidemment) est totalement désuette. Fascinant.
Un autre auteur dont j’ai collectionné l’œuvre est Frank Gruber11. Chester Erb a disparu est le dernier titre de la collection (P100). Cette série met en scène deux magouilleurs sympathiques, Johnny Fletcher et Sam Cragg, adeptes du système D. The Laughing Box a été traduit par Michel Averlant, un autre auteur de la collection. À une époque, j’appréciais suffisamment les récits de Gruber pour me procurer ses titres dans d’autres collections, entre autres aux Presses de la Cité dans une collection où le logo de la chouette est remplacé par celui d’un éléphant…
Je m’en voudrais de ne pas citer John Evans, de son vrai nom Howard Browne (encore un auteur de science-fiction !). Je n’ai pas collectionné ses titres, mais je garde de son détective Paul Pine (Payne en français) le souvenir d’un humaniste. Son roman Mortes damnées (P66) est l’un des premiers à couverture illustrée d’un dessin en couleurs, où la place dévolue au logo de la Chouette a radicalement diminué.
Enfin, dernier à nommer mais non le moindre, parmi les maîtres du roman policier, mon préféré restera sans doute à jamais John Dickson Carr dont le premier titre dans la collection est Un coup sur la tabatière (P11). Cet auteur-là occupe une si grande place dans ma collection de polars que je lui consacrerai, un jour, un article entier.

Parmi les british et les amerloques, une couple de Français
La Chouette avait fait la part belle aux auteurs français, par exemple Michel Averlant, André Héléna, Geneviève Manceron8 (La Biche, P10) et Gilles Perrault (Dynamite, P49, qui serait son meilleur roman selon Wikipédia9). Je dois avouer, hélas, qu’aucun de ces auteurs n’a figuré parmi mes favoris, sauf Jean-Pierre Ferrière10, surtout pour sa rigolote série Blanche et Berthe Bodin. D’ailleurs, l’un des titres que je possède (Cadavres en goguette) est paru dans la collection J’ai Lu J’ai Ri, c’est tout dire.
Une bonne douzaine d’œuvres de Jean-Pierre Ferrière dans ma bibliothèque relèvent toutefois plus du drame psychologique (à consonance criminelle) que du polar : ce sont les romans qui se déroulent dans le milieu du show-business, tel La Femme en néon (paru initialement chez Fleuve Noir, repris par J’ai Lu).
Les romans européens francophones qui me séduiront seront plutôt nés sous la plume des Exbrayat et Simenon, qui n’ont pas figuré dans J’ai Lu policier. Et San Antonio, bien entendu, dont je ferai la connaissance à 15 ans, quand j’aurai quitté l’école secondaire pour la polyvalente.

Mais il y a les grandes dames
Ce qu’il y a de Chouette dans le polar, c’est que les auteures y figurent en bonne place. Un de ces jours, je vous parlerai de mes « vieilles anglaises » favorites. La collection J’ai Lu policier est responsable de mon intérêt envers plusieurs écrivaines. Par exemple, j’ai découvert Joséphine Tey simplement parce que son nom se trouvait dans la liste des titres de la collection (cette liste qu’on trouvait en fin de volume, comme un extrait du catalogue, et qui faisait mes délices puisque je pouvais cocher les titres en ma possession). Les œuvres de Joséphine Tey que j’ai rassemblées sont parues chez d’autres éditeurs. Mon préféré est Le Plus Beau des Anges, mais je me demande s’il ne relève pas du drame psychologique plus que du polar.
Je dois citer Dorothy B. Hughes13, traduite par Jean Benoit, que j’ai appréciée même si J’ai Lu policier n’a publié que deux de ses romans, soit La Boule bleue (P53) et Voyage sans fin (P65). Ce dernier titre marque le changement de maquette (passage à la couleur, et logo de Chouette plus discret) dont j’ai parlé à propos du roman de John Evans.
La collection compte bien sûr d’autres auteures, mais les plus importantes à mes yeux sont Pat McGerr et Craig Rice. Concernant cette dernière, j’ai compris sur le tard qu’il s’agissait d’une écrivaine et non d’un écrivain. Pour juger de son importance, il suffit de souligner que le premier roman de la série Malone, Justus, Malone & Co. (P31) fut à l’origine le second titre publié dans Détective-Club.
Craig Rice est le pseudonyme de Georgiana Ann Randolph Walker Craig, qui a vécu une vie assez mouvementée si je me fie à sa biographie sur le site Gadetection14. J’ai lu et relu les romans mettant en scène Malone, l’avocat qui fait acquitter les pires coupables, et Justus, le meilleur imprésario du monde. Le duo devient un trio dès le premier titre, quand Justus tombe amoureux d’Hélène, une riche héritière dont la particularité est de rester fraîche et jolie en toute circonstance.
Mais mon roman favori de Craig Rice est sans conteste Maman déteste la police (P7), que j’ai pu retrouver des années plus tard grâce à sa réédition dans Le Masque. Selon Wikipédia, à la lecture de « Home Sweet Homicide (1944) [on] pourrait penser qu’elle s’était inspirée par ses propres expériences avec ses enfants ; les enfants résolvent une énigme pendant que leur mère, inconsciente de leurs pitreries et de tout ce qui se passe autour d’elle, tente de finir d’écrire un roman policier. Le roman est raconté du point de vue des enfants15 ».
Sans relever de l’humour, les romans de Craig Rice ont un côté léger pour ne pas dire farfelus. Si je raffole moins des titres de la série Malone, je trouve que Maman déteste la police se laisse lire et relire.
Enfin, Pat (Patricia) McGerr : j’ai aimé tous ses romans, dont la plupart ont la particularité de révéler au début le nom de l’assassin… et c’est l’identité de la victime que l’on doit découvrir, comme elle l’explique elle-même : « From my reading I knew that a classic mystery included a murderer, a victim, and several suspects. So I began by assembling the cast of characters. But when I began to assign roles, it was obvious that only one of them could commit murder, whereas any of the other ten might be his victim. So, reversing the formula, I named the murderer on page one and centred the mystery around the identity of the victim16. »
Le plus ancien titre d’elle que je possède dans J’ai Lu policier est Bonnes à tuer (P 19), Follow as the Night, traduit de l’américain par Maurice-Bernard Endrèbe. Mais si l’on veut découvrir sa façon de structurer une intrigue, l’exemple le plus classique est Pick Your Victim, en français Pariez sur la victime, publié chez Euredif et que j’ai déniché dans la collection… Playboy. Une édition si soignée que, sur la page frontispice, le prénom de l’auteure est orthographié « Patt ».

Celui qui a changé ma prose
Nonobstant tout ce qui précède, l’auteur qui a le plus marqué ma plume à l’adolescence est Brett Halliday (dont le vrai nom serait Davis Dresser17). À cause de lui, je me suis mise un jour à écrire des histoires de détective privé, histoires que je trouvais trop américaines mais que ma meilleure amie jugeait trop « françaises de France ». Il m’a fallu du temps avant de comprendre que la traduction était la grande responsable de mon vocabulaire argotique.
Je ne possède pas le premier titre intitulé La Mort fait vivre (P64). Ma collection commence avec Impair, passe et mort (P68), dont le titre original est The Private Practice of Michael Shayne. Mike Shayne est un archétype : têtu, fonceur, il n’hésite pas à trafiquer des preuves pour arriver à ses fins… et il se fait tabasser à répétition. Les intrigues se déroulent en Floride, dans la moiteur des bars, des casinos et de l’hippodrome, dans un univers glauque et mafieux. Shayne compte un allié dans la police, et un ennemi juré. Pendant trois ans, tout ce que j’ai écrit était directement influencé par ses aventures.
D’ailleurs, j’ai été émerveillée lorsque j’ai lu pour la première fois un roman de la série Stan Coveleski de Maxime Houde18 car, sans vraiment ressembler aux aventures de Mike Shayne, les enquêtes de mon détective québécois favori m’ont permis de retrouver quelque chose du ton et de l’atmosphère des romans de Brett Halliday.
Ainsi, le plaisir que je prends aujourd’hui à lire les polars d’auteurs qui sont mes contemporains, qui vivent sur le territoire que j’habite, des auteurs que je croise parfois en salon du livre, ce plaisir est né d’une rencontre de hasard au fond d’une bibliothèque scolaire, il y a, quoi?, plus d’un demi siècle !
Catherine Sylvestre

Notes
1- Ouvrage abondamment cité par Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ditis.
2- Norbert Spehner, Le Détectionnaire, Lévis, Éditions Alire, 2016. Les libraires devaient en faire la promotion, ce serait payant pour eux, car personne ne peut le feuilleter sans ressentir l’irrésistible envie de se procurer une tonne de romans!
3- IMEC, Institut mémoires de l’édition contemporaine : https://www.imec-archives.com/archives/collection/ED/FR_145875401_P716DTS.
4- Comme plusieurs bouquins que je mentionne, la série « Le Baron » a été maintes fois rééditée. Voir entre autres le site Goldsboro Books : https://www.goldsborobooks.com/author/anthony-morton.
5- Pour une liste exhaustive de tous les titres de Détective-Club, La Chouette et J’ai Lu policier, voir Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Détective-club.
6-Voir https://www.goodreads.com/author/show/2689493.Jonathan_Stagge.
7- Source Wikipédia: https://en.wikipedia.org/wiki/Hillary_Waugh.
8 – Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Geneviève_Manceron.
9- Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Perrault.
10- Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pierre_Ferrière.
11- http://gadetection.pbworks.com/w/page/7930708/Gruber, Frank.
12-Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Howard_Browne.
13- https://www.goodreads.com/author/show/80430.Dorothy_B_Hughes.
14- http://gadetection.pbworks.com/w/page/7931419/Rice, Craig.
15- Source Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Craig_Rice.
16-Source: http://gadetection.pbworks.com/w/page/7931041/McGerr, Pat.
17- Source Wikipédia: https://en.wikipedia.org/wiki/Brett_Halliday.
18- Pour un grand plaisir de lecture plus accessible que ces vieux titres : https://www.alire.com/Auteurs/Houde.html.

Très bon article qui m’ont aussi replongé dans ma jeunesse. J’ai une bonne quantité de « Le Baron » mais ma collection est loin d’être complète. J’ai adoré lire cet essai qu’à écrit ma jeune sœur (elle restera toujours ma jeune sœur).